Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Et si on lisait?
Archives
Derniers commentaires
4 janvier 2010

Winckler, Martin

winckLe choeur des femmes

Présentation de l'éditeur:

Je m'appelle Jean Atwood. Je suis interne des hôpitaux et major de ma promo. Je me destine à la chirurgie gynécologique. Je vise un poste de chef de clinique dans le meilleur service de France. Mais on m'oblige, au préalable, à passer six mois dans une minuscule unité de " Médecine de La Femme ", dirigée par un barbu mal dégrossi qui n'est même pas gynécologue, mais généraliste! S'il s'imagine que je vais passer six mois à son service, il se trompe lourdement. Qu'est-ce qu'il croit? Qu'il va m'enseigner mon métier? J'ai reçu une formation hors pair, je sais tout ce que doit savoir un gynécologue chirurgien pour opérer, réparer et reconstruire le corps féminin. Alors, je ne peux pas - et je ne veux pas - perdre mon temps à écouter des bonnes femmes épancher leur coeur et raconter leur vie. Je ne vois vraiment pas ce qu'elles pourraient m'apprendre.

Publicité
Commentaires
W
j'ai bcp apprécié le livre : malgré un côté un peu trop "pédagogique" parfois dans le contenu (comment faire passer de l'info sur la contraception et sur le rôle d'un soignant...)et en effet une intrigue quasi méthodique, le propos est riche, les personnages humains, très humains, la trame dense... J'ai bcp apprécié les narrations croisées, l'alternance des styles, l'ancrage dans la réalité (notamment sur le partage via le net... :ange: ) , et bien sûr, avant tout, le propos... A lire sans hésitation, qu'on soit une femme ou pas ;)
S
J'ai eu "peur" en lisant le commentaire de Soso mais en fait j'ai été agréablement surprise. J'ai bien aimé, bien plus que Les trois médecins, parce que j'ai retrouvé le "ton" qui m'avait tant plu dans la Maladie de Sachs. Ensuite je suis d'accord que l'histoire de Jean peut sembler un peu "too much" cela dit je trouve que l'histoire est bien ficelée et que les personnages gardent leur crédibilité.
S
Et oui, pour une fois, me voilà déçue par un Winckler. <br /> Un pavé de 600 pages avec certes des anecdotes sympas comme il sait si bien les raconter mais une intrigue un peu grosse : J'aime Winckler pour son engagement, son empathie et aussi surtout son écriture, son sens de l'humour... là çà plonge parfois (surtout sur la fin) dans le pathos et le roman de gare et c'est dommage. Mais bon, je me suis enfilée les 600 pages en 4 jours : un peu (beaucoup) tous les soirs malgré la fatigue d'une journée de ski, donc c'est que çà m'a plu (sinon, je peine je m'endors sur le bouquin et je lâche l'affaire en route).
Et si on lisait?
Publicité
Publicité